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Télétravail à l’ère post-COVID-19: acquis et défis pour l’Afrique Subsaharienne

  • Résumé
    Le processus de déploiement du télétravail dû au Covid-19 est en cours dans les PME Africaines. Nous avons en conséquence tiré des éléments contextuels permettant d’assurer la mise en place de cette forme de travail. Il s’agit comme nous le verrons en détail, d’une nécessaire révolution culturelle à propos de cette démarche qui comprend nottament : l’accompagnement approfondi des salariés appelés à exercer en télétravail, la contribution de l’entreprise à l’aménagement des espaces adéquats pour le télétravail aux domiciles des salariés, l’usage des Technologies de l’information en version Open source pour s’adapter aux contraintes économiques de l’Afrique subsaharienne e,t enfin, une implication de l’État en matière de législation et de dotation en infrastructures en la matière.
    Citation : Kadji Ngassam. (Déc 2022). Télétravail à l’ère post-COVID-19: acquis et défis pour l’Afrique Subsaharienne. Management et Datascience, 7(1). https://doi.org/10.36863/mds.a.21980.
    L'auteur : 
    • Martial Kadji Ngassam
       (knmartial@yahoo.fr) - Université de Versailles Saint Quentin
    Copyright : © 2022 l'auteur. Publication sous licence Creative Commons CC BY-ND.
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    Texte complet

    Le télétravail est défini comme un travail effectué hors du lieu de service habituel du salarié, mais connecté à celui-ci par les technologies de l’information et de la télécommunication (Aguilera et al, 2016). Il est présenté depuis plusieurs décennies, notamment par plusieurs rapports de l’Organisation internationale du travail (OIT), comme un levier de développement des PME africaines (Rapport OIT 2010). Alertées sur les bienfaits de cette méthode de travail et sur les opportunités qu’on pouvait en tirer, certaines PME africaines et camerounaises en particulier y ont tourné leur attention. Mais face à la pandémie du Covid-19, ces PME camerounaises ne bénéficiant presque d’aucune aide étatique doivent appliquer les mesures sanitaires « barrières » tout en assurant leur survie économique. Pour y parvenir, elles se mettent massivement à la « mode » du télétravail, en espérant bénéficier de la digitalisation progressive entamée en Afrique depuis plusieurs années (Rapport Deloitte, 2020). Moins préparées à ce mode de travail à distance contrairement aux grandes entreprises, elles doivent dans l’urgence s’y intéresser au risque de mettre en péril leur pérennité.

    Dès lors, comment réussir cette démarche dans un contexte d’impréparation, de limite énergétique, technologique et législative ? Il est question d’examiner les moyens de tirer parti du fort potentiel africain en matière de transformation digitale, malgré le taux de pénétration d’internet faible. En effet si le télétravail est bien organisé et déployé au Cameroun, cela permettra à ce pays de mettre en avant ses atouts et ses avantages ( la jeunesse de sa population et le coût faible de sa main-d’œuvre) sur le marché de l’emploi. Dans la première partie de notre article, nous présentons une revue des principaux travaux théoriques, notre démarche empirique; ensuite les principaux résultats qui seront par la suite discutés. Et enfin les limites de notre travail et les perspectives de recherche. La confrontation de nos résultats aux éléments théoriques que nous avons mobilisés nous a conduit à faire plusieurs propositions axées notamment sur le rôle central que doit jouer les décideurs publics (État) en matière d’injonction de législation sur le télétravail.

    Les facteurs de succès du déploiement du télétravail : une revue de la littérature

    Né en 1976 aux États Unis, le télétravail a connu des évolutions successives boostées par les enjeux socio-économiques (réduction des coûts, accès aux ressources humaines rares), sanitaires et sécuritaires (épidémies, salariés à mobilités réduites, etc.). Les principaux travaux qui ont abordé le problème de télétravail se retrouvent dans le contexte occidental et n’abordent les pays du sud que pour mettre en évidence leurs opportunités de bénéficier par cette méthode de travail au marché de l’emploi occidental (Craipeau, 2010). Étant donné le niveau technologique très avancé en Occident, les principaux travaux de recherche sur le télétravail ont analysé principalement les questions d’autonomie des télétravailleurs, du contrôle de son activité à distance (Karjalainen et Soparnot, 2010 ; Pontier, 2014) et du sens du travail (Arnoux-Nicolas, 2022). Klein et Ratier (2012) avaient déjà montré comment la capacité d’autonomie du salarié en situation de télétravail et les possibilités que peuvent disposer l’entreprise en vue du contrôle à distance sont des éléments déterminants du succès de ce mode de travail. Il faut donc comme l’ont expliqué les auteurs, codifier le processus de travail à domicile et fixer des objectifs clairs et évaluables. Ils ajoutent que cela ne peut se faire que si le télétravailleur qui n’est plus sous contrôle visuel de son employeur a une forte capacité d’organisation personnelle et d’autonomie.  Le maintien du lien et de la socialisation à distance est aussi un élément qui revient régulièrement dans la littérature sur le télétravail (Taskin, 2003Ruiller et al, 2017). Le télétravailleur a parfois l’impression d’être livré à lui-même et on constate des cas de comportements contraires aux objectifs globaux de l’organisation.

    Taskin (2003) ajoute que la difficulté de travailler à distance vient du fait que, dans certains cas, le télétravail ne résulte pas de la volonté d’organiser à leur guise leur temps de travail, mais de l’impossibilité de faire autrement. Il poursuit en disant que les salariés perçoivent parfois le télétravail comme une opportunité de réduction des coûts et d’accroissement de la productivité de l’entreprise à son propre détriment. Toutefois, on note de plus en plus à l’augmentation des demandes de télétravail venant des salariés. Ce choix s’explique par leur volonté de combiner vie professionnelle, charge familiale et flexibilité dans le travail (Pontier, 2014).  En ce qui concerne les facteurs clés du succès d’un projet de télétravail, Ollivier (2017) propose quatre leviers qui pour lui sont fondamentaux. Il cite: la dimension juridique, organisationnelle, logistique et humaine. Il insiste aussi sur la nécessité d’éviter les différents freins susceptibles de réduire l’efficacité du télétravail. Ce sont : les freins culturels (la confiance), les freins organisationnels (la confidentialité et sécurité des données) et enfin les freins humains (la remise en cause).

    Les travaux de recherche ayant abordé le télétravail dans le contexte africain insistent sur l’accompagnement le changement et la prise en compte des facteurs culturels (Dado-Worou., 2011, Frimousse et Peretti, 2022). Ils ajoutent que l’Afrique, contrairement aux pays occidentaux doit prendre en compte les enjeux liés à la connectivité (accès à une connexion internet haut débit), à l’énergie, la sécurité des données et la réglementation (législation). En parlant de législation ils rejoignent Ollivier (2017) qui a montré qu’en France par exemple, l’évolution de la législation fût un facteur positif  pour la diffusion des pratiques de télétravail.

    Résultats de l’étude empirique

    Le but de notre travail était double : analyser le processus de déploiement du télétravail au Cameroun dans le contexte COVID-19 et proposer les facteurs clés de succès de cette démarche. Notre recherche met ainsi en lumière plusieurs facteurs qu’il faut prendre en compte dans l’optique de vulgarisation du travail à distance dans les PME camerounaises. Nous suggérons ainsi de :

    Gérer le changement

    Toute situation de changement dans les organisations africaines est complexe et il faut prendre en compte les interactions socioculturelles (Dado-Worou, 2011). L’Afrique est une société de communautés où le travail individualisé suscite des appréhensions. Il faut donc accompagner les télétravailleurs en expliquant le processus, car beaucoup de PME s’y sont lancées brusquement et sous la contrainte du confinement. Une recherche sur la fréquence de recherche du mot-clé « télétravail » sur le moteur de recherche Google montre qu’il a connu une explosion au Cameroun depuis l’annonce par les gouvernements respectifs des mesures de confinement (voir figure 1). Cette hausse dans les recherches montre bien que les PME camerounaises n’avaient aucune expérience dans la pratique du télétravail. L’un des collaborateurs d’une PME au Cameroun affirme à cet effet : « comme les autres entreprises, notre direction nous a exigé de voir dans quelle mesure mettre en place le télétravail en vue d’éviter la propagation de la corona dans l’entreprise. C’est vrai que nous n’avons jamais expérimenté cette pratique. Mais nous allons nous y mettre ».

     

    Figure 1 : évolution de la notoriété de l’expression « télétravail » (source Google Trend)

    La détention et la maîtrise des technologies de l’information et de la communication

    Le télétravail dans la PME africaine doit être efficace. Pour cela, il faut des éléments de connectivité suffisants, ainsi qu’une formation et un encadrement des télétravailleurs. Toutefois, étant donné les moyens limités et le système de fonctionnement quasi-informel, les PME africaines, même en contexte hors crise, n’ont pas suffisamment digitalisé leurs procédures internes. On note donc une faible maîtrise des outils numériques de travail à distance par les télétravailleurs et leurs encadreurs. Un salarié de la PME BT Distribution affirme à ce sujet : « pour nous c’est compliqué de travailler à domicile avec des outils technologiques. Je n’ai pas l’habitude de le faire. Et nous, n’avons pas été formé ni équipé .»

    Les conditions de travail à domicile (qualité d’internet, coupure d’électricité, espace de travail dédié)

    La mise en place brusque du télétravail en  pendant la période du confinement au Cameroun a causé beaucoup de problèmes d’efficacité de ce mode de travail à distance. Notamment, l’absence d’espace équipé dédié au télétravail. De plus, les coupures multiples en énergie électrique compliquent le travail en continu. Il faut donc dans une perspective de poursuite du télétravail “planifié” post période Covid-19 faire des dotations en matériels et aménagement d’espace au domicile pour le télétravail. Cela pose de gros soucis d’efficacité du télétravail dans les PME au Cameroun. Un de nos interviewés déclare à ce sujet : « l’entreprise doit nous aider en  équipements et dans aménagement d’un espace de travail calme à la maison. Moi j’ai besoin de concentration »

    L’usage des technologies de l’information (TI) en version Open Source (logiciel libre) adaptées aux réalités de l’Afrique subsaharienne

    Nous avons constaté que plusieurs entreprises notamment des PME n’ont pas des moyens financiers pour souscrire à des offres professionnelles sur les plateformes telles que ZOOM ou Microsoft Teams, ces plateformes exigent en effet une souscription payante en fonction du nombre d’utilisateurs connectés. De plus, pour l’accès aux fichiers et un travail collaboratif à distance, l’acquisition des ERP sous licence commerciale était onéreuse. Or, des solutions open source existent mais sont méconnues par la plupart des acteurs économiques. L’un de nos interviewés va dans ce sens lorsqu’il déclare: « nous utilisons un compte zoom gratuit, en conséquence chaque 45 minutés environs la réunion s’arrête et il faut relancer une nouvelle réunion. Ce qui déconcentre tout le monde et freine le travail. Nous avons dit à notre patron que des solutions de réunion à distance existent avec les solutions logicielles libres comme MOODLE et des open ERP tels que ODOO peuvent nous aider. Il est d’accord, mais comment les paramétrer et l’adapter à notre usage ? Qui pour nous former ? »

    Il est donc nécessaire pour les équipes IT des entreprises locales camerounaises d’intégrer les projets open source dédiés aux TI dont elles ont besoin. Ceci, d’une part, pour comprendre le fonctionnement des projets et, d’autre part, pour contribuer au développement du code source dans le sens de leurs intérêts et de leur contexte. Notre recherche montre également que les développeurs africains, malgré leur motivation à participer aux projets open source, font face à plusieurs obstacles liés au système de gouvernance des contributions au sein des projets open source et au déficit de confiance nécessaire entre les contributeurs, notamment les préjugés concernant leur manque de compétences. L’engagement de libre collaboration prôné par la philosophie open source n’est ainsi pas respecté, mettant à mal la capacité des PME africaines à s’approprier la valeur issue de ces projets.

    Mesures étatiques : combler le vide juridique, légiférer

    Les États doivent prendre leurs responsabilités en légiférant et en encourageant les politiques de télétravail. Le vide juridique actuel ne crée pas un climat de confiance entre les télétravailleurs et leurs entreprises. En parlant de la législation le chef de personnel de la PME Tech Info affirme : « le gros problème avec le télétravail au Cameroun c’est le fait qu’il ne soit pas règlementé. Il est compliqué pour nous de fixer des normes sans bases juridiques et étatiques. L’État doit faire son travail

    Discussion

    Dans cette partie, il sera question de mettre en perspective nos résultats présentés ci-dessus par rapport à la littérature mobilisée.

    Nos résultats confirment l’importance à accorder à l’accompagnement des salariés et des PME camerounais dans le cadre des actions de transformation digitales. Cet accompagnement peut consister à l’organisation des formations dédiées aux outils numériques utilisés dans le cadre du télétravail. Il serait aussi important d’expliquer aux salariés les enjeux et la nécessité de l’entreprise de passer brusquement au télétravail. Ces résultats vont dans le sens de plusieurs travaux dont ceux de Karjalainen et Soparnot (2010) d’une part et de  Pontier (2014) qui ont montré qu’il faut accompagner le télétravailleur qui doit faire face à plusieurs changements comme le travail en autonomie et hors de son cadre habituel.

    Notre recherche empirique met aussi l’accent sur la difficulté pour les entreprises camerounaises à contrôler le travail à distance de ses collaborateurs. Il faut donc comme l’a montré Pontier (2014), fixer en avance les modalités de contrôle. Cela rejoint les recommandations de Dado-Worou (2011) en matière de prise en compte des interactions socioculturelles  lors de la mise en œuvre d’un projet de transformation digitale. Notre travail revient aussi clairement sur la disponibilité de l’infrastructure technologique au domicile du télétravailleur. Dans nos interviews,  il remonte que les salariés attendent de l’entreprise une mise à disposition à domicile d’un cadre adéquat et équipé pour faire du télétravail. L’autre résultat de notre étude est le constat fait par toutes les personnes interviewées de la nécessité pour les décideurs publics de légiférer et d’encadrer le télétravail. Car actuellement au Cameroun, on observe une anarchie dans les pratiques et une réticence des entreprises à s’y mettre dans un contexte de vide juridique. Dans le cas de la France par exemple nos travaux rejoignent ceux d’Ollivier (2017) qui a montré que dans ce pays, l’évolution de la législation avait été un facteur positif et de succès pour la diffusion des pratiques de télétravail. Il faut donc contractualiser tous les éléments liés au télétravail, sortir de l’arbitraire. Nous sommes convaincus qu’un cadre juridique idoine apportera beaucoup de sécurité au système et rassurera l’ensemble des acteurs. De plus pour une meilleure accessibilité des TI, l’État doit encourager le développement d’une communauté d’utilisateur et de développeur Open source (Mouakhar et Benkeltoum, 2020).

    Ce contrôle et cette supervision du travail à distance ont une incidence sur le travailleur dans les domaines professionnels, familiaux et sociaux (Vayre, 2019). Il est donc question de s’assurer que les frontières claires soient établies entre vie privée et vie professionnelle. D’où la nécessité d’une législation en la matière (Dumas et Ruiller, 2014). Ruiller et al (2017) ont mis l’accent eux par contre sur l’impact de la distance dans le cadre du télétravail. Notre étude nous pousse enfin à nous intéresser au sens que prend le mot  »travail » pour ceux qui pratiquent le télétravail (Arnoux-Nicolas, 2022).

    Conclusion

    En définitive, la mise en place du télétravail doit respecter certaines normes et standards. La littérature massivement présente sur les entreprises en contexte occidental nous a éclairé dans notre volonté de comprendre le phénomène de télétravail et les représentations des différents acteurs à son sujet. Le cadre empirique que nous avons mobilisé nous a conduit grave aux entretiens, observations et documents et a abouti à des résultats qui bien que contextuels, contribuent à la compréhension des pratiques de télétravail dans les PME camerounaises. Nos résultats montrent ainsi que l’accompagnement face au changement du mode de travail soit systématique ; de même qu’un soutien technique pour la prise en main des outils numériques, notamment les TI open sources. Nous insistons sur le fait que l’employeur dans le contexte camerounais doit contribuer à la mise en place d’un cadre de travail à domicile adéquat au télétravail et aux objectifs de l’entreprise (espace de travail calme, indépendance énergétique, accès à la connexion haut débit).  Notre travail conclut aussi sur l’importance de l’injonction des décideurs publics dans la digitalisation de l’économie camerounaise. Toutefois ils doivent faire clairement légiférer et règlementer l’activité de télétravail. Car le télétravail, comme plusieurs l’ont montré, peut être une source d’opportunité pour les PME camerounaises d’accéder au marché de l’emploi sur le plan mondial.

    Bibliographie

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